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• TU AS RÉVEILLÉ EN MOI... 
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• Tu as réveillé en moi des tourments
• De cette violence douce et infinie
• Qu’il m’avait semblé jusqu’à présent
• Avoir bien maîtrisés, bien endormie.
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• Tu as réveillé en moi les désirs
• De toutes les palettes du plaisir
• Dont la diversité des couleurs
• M’illumine du plus grand des bonheurs.
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• Tu as réveillé en moi la passion
• Qui consume les coeurs les plus retords,
• Déchaînant des myriades d’émotions,
• Défiant les pires regrets et les remords.
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• Tu as réveillé en moi des torrents
• De folies, de rêves et de chimères
• Maîtrisés par un calme apparent,
• Tel les prémices d’une tempête en mer.
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• Tu as réveillé en moi un volcan
• Dont le coeur est en ébullition,
• Risquant l’explosion à chaque instant,
• Battant comme un tambour, sans rémission.
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• Tu as réveillé en moi tous les feux
• Que je croyais éteints dans les enfers.
• Ceux qui sont appréciés par les dieux
• Des éclairs, du vent et du tonnerre.
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• Tu as réveillé en moi cet amour
• Que je pensais ne plus reconnaître
• Et qui finalement à ce jour
• Exalte ce sentiment de renaître.

 PASSION-IVRESSE-AMOUR-VOLUPTÉ

• AMOUR SANS BRUIT....
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• C’est grâce à toi, mon adoré
• Que les premières années
• Où mon coeur à peine né
• D’un amour ignorant,
• Sortit du firmament.
• Comme un rêve charmant.
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• Notre premier baiser
• Sur le lac enchanté,
• Fit éclore mon coeur
• Comme l’éclosion d’une fleur.
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• Lui! Cet amour adoré
• Que j’ai tant regretté
• A du partir un jour
• A la guerre des hommes,
• Car notre dieu, ce grand dieu vénéré
• Qui a choisi tant d’hommes pour l’aimer,
• M’a emporté le mien
• Celui que j’aime tant !
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• Tout le monde l’a su
• Mais personne n’a vu
• Et ne saura jamais
• Que je l’ai tant aimé...
•  Mon premier poème écrit à 11ans,
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• Nostalgie d’amour...
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• Quand le revérai-je ?
• Quand reviendra-t-il
• L’amour que mon coeur a choisi ?
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• Rien, non rien remplacera
• Celui qui a tout fait pour moi!
• Mais voilà, il est parti,
• Il est parti loin de tout.
• Loin de ces chaleureuses journées,
• Loin de nos amours...
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• Ô pourquoi es-tu parti ?
• Amour de mon coeur,
• Amour de mon âme.
• Tu m’as tout enlevé,
• Ma joie et mon bonheur,
• Et pourtant, tu m’aimais...
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• Quand je t’ai vu partir,
• Quand tu m’as embrassé,
• Ô ce baiser!
• Un des plus amer,
• Qui m’a tout fait comprendre,
•  Celui de nos amours,
• Qui s’éteindraient, un jour...

BRUIT, SECRET, SILENCE, AMOUR,

Amour de petite fille,

 
Mes pensées nuit et jour sont hantées que par toi,
Et mon coeur brûlant par le feu de l’amour
L’emporte sur ma peine, ma tristesse et ma joie.
J’attends, j’espère..car je désire te revoir un jour.
 
Je ne sais ce qui vers toi m’attire,
Est-ce ta voix, tes yeux, tes violents baisers ,
Ou bien le souvenir de la semaine passée ,
Je ne trouve pas.. et jamais je ne saurai le dire..
 
Malheureusement, je ne te connais pas encore assez
Pour voir si ton coeur de garçon blasé
Ne flirt avec une fille que pour son plaisir
Et se combler ainsi de violents désirs?...

SOUVENIR D’AMOUR
 
Je me rappellerai toujours
D’un unique et grand amour
Que j’avais rencontré
Un très beau soir d’été.
Dans ma grande admiration
Il ressemblait à Apollon.
Il avait de grands yeux verts
Qui séduisaient tout l’univers.
 
Nous passions nos journées,
Sous un beau ciel d’été,
Allongés dans le sable
D’une chaleur admirable.
 
Nos plus douces soirées,
Sous la lune gelée,
Se déroulaient comme un mirage.
Nous longions l’immense plage,
Et serrés l’un contre l’autre
N’osant rien demander d’autre,
Nous écoutions battre nos coeurs.
 
Par moment, il s’arrêtait
Et m’embrassait avec ardeur,
Me disant qu’il m’adorait
Et qu’il ne me quitterait jamais.
 
Je le croyais.. je l’aimais tant.
Mais maintenant, depuis longtemps
Il est parti refaire sa vie.
Ô, il ne m’aimait pas à la folie !
C’était un homme, comme tous les autres,
Pas plus méchant qu’un autre,
Car avant de s’en aller, il m’a dit le coeur serré:
 
“Je n’ai pas tenu ma promesse,
J’étais pris dans une grande ivresse
Que moi-même ne comprends pas.
Je suis un monstre, ne vois-tu pas !
Pardonnes-moi ce que je fais,
Je ne suis pas un homme parfait.
Je reviendrai peut-être un jour.”
 
Et je l’attends depuis toujours....

COMME LES VENTS VIOLENTS

• Lorsque ta main me frôle, quant je suis endormie,
• Lorsque ton souffle court sur ma peau alanguie,
• Lorsque tout doucement tu cherches à m’éveiller
• Afin de partager ton désir sans tricher...

Lorsque ta bouche glisse sur mon corps frémissant,
Lorsqu’avec tes caresses, tu te fais plus pressant,
Lorsqu’enfin tu m’arraches à mes rêves imprécis
Cherchant à réveiller mon plaisir indécis...
 
Comme les vents violents qui entre eux se déchaînent,
Nos deux âmes se fondent l’une en l’autre et s’entraînent,
Soumises à nos étreintes, soumises à nos caprices,
Offrant à notre amour les plus sensuels délices.

 
Lorsque très tendrement tu me serres contre toi,
Lorsque nous ressentons tous deux le même émoi,
Lorsque d’un même élan, tout notre être frissonne,
Et que dans un concert, nos coeurs brûlants résonnent...

Lorsque nous donnons cours, aux feux de nos passions,
Lorsque dans un éclat, fusionnent nos pulsions,
Lorsque dans un seul cri, nos deux voix s’entremêlent,
Et qu’entre toi et moi tout devient irréel...
 
Comme les vents violents qui entre eux se déchaînent,
Nos deux âmes se fondent l’une en l’autre et s’entraînent,
Soumises à nos étreintes, soumises à nos caprices,
Offrant à notre amour les plus sensuels délices.
 
Et lorsque finalement, tu me fermes les yeux,
Par de légers baisers et un geste amoureux,
Blottie tout contre toi, je me laisse glisser
Conquise et apaisée dans les bras de Morphée...

JE T’ATTENDS....

Avant que de nous quitter,
Dis-moi ce mot qui pour nous deux est encore si frêle et si fragile.
Dis-moi ce mot qui vient à peine d’éclore de nos deux coeurs
Encore surpris et confondus par cette soudaineté...
Dis-moi ce mot qui tel un rêve peut être éphémère ou éternel
Suivant ce que le destin viendra nous apporter.
De nous quitter j’en ai le coeur serré
Et ce je t’aime je te le dis quand même,
Et demain nous dira si notre rêve était mensonge ou bien réalité.

Je t’aime... A demain mon amour... Je t’attends...

 J'AI BESOIN DE TOI

 

Je te tends les bras parce que je sens que toi aussi tu me tends tes bras,
et je sais qu'à chaque fois que nous nous quitterons ce sera comme une déchirure...

mais je sais aussi qu'à chaque fois que nous nous retrouverons
ce sera merveilleux comme des grands éclats de soleil
que l'on reçoit en plein dans les yeux et qui nous éblouissent...

Je t'aime, je t'aime,...Je t'aime...
je t'aime comme il y a longtemps.
C'est comme si je venais de naître
et que je découvre d'un seul coup tout ce qui est beau,

comme on découvre un paysage inconnu,
comme on découvre la nature qui s'éveille au printemps,
comme on découvre des tas de choses très simples

Je veux que tout ce que tu vas me dire soit des mots d'amour,
que notre rencontre soit belle jusqu'au bout...

Mon amour à demain, à toujours...parles-moi, toi aussi,...
j'en ai besoin,... j'ai besoin de toi...
 

• PEUT-ÊTRE UN JOUR 

  
  

• Peut-être un jour viendra où l’on se quittera,

•  De ce bel amour plus rien ne sera,
• Que de beau souvenir,
• Que ton tendre sourire,
• Que des larmes sans joie.

La vie vois-tu devra nous arracher,
A ce bonheur fragile qui pourtant semblait vrai,
Plein de tendres promesses,
Plein d’amour et d’ivresse,
Plein de toi et de moi.

• Peut-être un jour viendra, notre amour tarira,
• Comme la source qui meurt et que ne revient pas,
• Comme la loi du destin, tout début à une fin,
• La fin de toi et moi...

Ce jour pourtant, je ne veux pas y croire,
Et si tu le veux toi,
Jamais aucun déboire
Ne nous séparera,
Dans la vie jusqu’au bout,
Il y aura toi et moi...

• J’aimerais tant que tu ressentes, ce que je ressens
• J’aimerais tant que tu penses ce que je pense,
• J’aimerais tant que nous ne fassions qu’un seul...
• 
  
• j’ai envie que tu y crois, 
• comme moi-même j’aimerais tant y croire,
• à ce grand bonheur, qui à l’instant 
• nous étreint et nous suffoque par son impact.

J'AI ENVIE DE TE DIRE...

 J’ai envie de te dire des paroles tendres et douces,
Des paroles que l’on ne dit plus,
Car on n’a plus le temps, car on n’a plus la foi.
Car la vie d’aujourd’hui dure et impitoyable
ne veut pas qu’il soit dit
Que la beauté et le rêve dans l’amour existent encore toujours.

Car cette vie d’aujourd’hui qui pourrit, qui salit, qui balaie
Tous ces pauvres pantins que nous sommes,
Cette vie ne sait plus qu’au fond de certains d’entre nous,
Il y a cet amour qui sommeil,
Fort dans sa douceur, soumis dans sa violence,
Invulnérable dans sa fragilité.

Cet amour qui jusqu’alors semblait fluide, impalpable,
Est devenu soudain bonheur, véracité,
Et nos coeurs se confondent et se fondent
Dans un concert de mots emprunts
de caresses, de tendresse et de sérénité.

Surtout ne pas rompre ce charme qui nous entoure
Et nous protège de cette morne et monotone réalité,
De toutes ces journées qui se suivent
et se succèdent sans un regard sur le passé.

Surtout ne pas lâcher ce fil qui nous lie l’un à l’autre,
Ce fil tendu par le destin vers nos âmes esseulées,
Ce fil plein de courant propice, de fluide et de complicité...

IL FAUT QUE NOTRE AMOUR,

Il faut que notre amour soit beau, soit vrai,
Plein de lumière, de clarté, de couleur,
Plein de patience, de tendresse, de chaleur..

Il faut que notre amour reste léger et frais,
Que rien ne le tarisse jamais,
Ni les pourquoi, ni les comment,
Ni les quand, ni les mais..

• Il faut que pour nous, tout soit grand, tout soit simple.
• Que notre amour ressemble à la brise de l’été,
• A la source qui coule à travers les rochers.

Grandeur, simplicité, Grandeur, sérénité.
Comme le soleil qui chaque jour se lève et disparaît à l’horizon,
Comme les feuilles qui tombent
Et celles qui renaissent pour marquer les saisons.

Grandeur comme la mer,
Simplicité comme les rivières,
Grandeur comme le monde,
Sérénité comme l’onde.
Il faut afin que rien ne puisse nous séparer,
Souder nos âmes à la même pensée,
Ainsi jamais notre amour ne sera altéré.

 L'ILLUSION D'AMOUR

•  L’illusion d’amour se confond avec le soleil en hiver,
• Ce soleil brille et flamboie, mais sous cette apparence trompeuse, nous ne sentons pas la chaleur de ses rayons...
• Et pourtant il nous attire.. 
• et l’on espère, car l’on croit que sous ses rayons glacés se cache la douce et réconfortante félicité de sa chaleur...
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On s’approche de ce soleil en toute confiance,sans la moindre méfiance. On est sûr de nous-même, malgré ce qu’il semble nous dire:

“Celui qui s’approchera trop près de moi

prendra la flamme que je cache mais qui ne m’appartient pas. Attention de ne pas en souffrir, car sur l’instant ce feu sera doux et grisant, mais il risque de vous brûler profondément”.

Ce n’est pas possible, on ne le croit pas!  Il nous paraît si tendre, si doux, si chaud! On tourne autour de lui comme un papillon autour d’une lampe.. sa chaleur, sa lumière, tout nous grise !

 Puis soudain, nous nous brûlons. Cette brûlure nous pénètre très loin, trop loin en nous même.. 

Et l’on continue à s’accrocher éperdument à ce soleil implacable, malgré tout le mal qu’il nous fait...

Et lui, comme un défi, nous renvoie au visage tous les débris de  de nos illusions perdues dont il ne nous reste plus que de cruels et tristes souvenirs.

Oui...

cette illusion d’amour qui se confond avec le soleil en hiver, j’en ai besoin pour vivre, j’en ai besoin pour t’aimer..

Oui, pour t’aimer !

AMOUR-ILLUSIONS-RÊVES